
NIZAMI - 1141 - 1209
- On me pousse à me séparer de l'amour
- On me dit "débarrasse toi de l’amour"
- Seigneur! Je te jure devant ta Divinité,
- Et encore devant ta Déité
- Relève-moi jusqu’au bout de l'amour,
- Que ne finisse pas ce grand amour,
- Abreuve mon âme à la source de l’amour
- Ne me prive pas du kohol de l’amour
- Je suis aviné par le vin de l’amour
- Assoiffe-moi pour du vin de l’amour
- (De Leily o Majnoun)

De son vrai nom Khwajeh Chams ad-Din Mohammad Hafez-e Chirazi. Il est surtout connu pour ses



Les poèmes de Hafez sont toujours parmi les plus populaires poèmes persans. Ils sont fréquemment utilisés dans la musique traditionnelle iranienne, comme dans les œuvres de Mohammad Reza Shadjarian. Le Divan de Hafez est utilisé comme aide à la divination populaire. Les Iraniens posent une question concernant leur futur à Hafez, puis ouvrent son Divan au hasard, le poème étant sur la page ouverte peut alors être interprété pour connaître la réponse à sa question. De jeunes adultes se sont tournés vers les œuvres de Hafez, particulièrement après qu'un groupe de rock appelé O-Hum se fut consacré à n'utiliser que des paroles de Hafez. Sa poésie est aussi une des sources d'inspiration du peintre iranien Mahmoud Farshchian.
FARID al-DIN ATTAR 1142 - 1220
Né à Nichapour dans le Khorassan, où se trouve son tombeau. Il quitta un commerce lucratif pour embrasser la doctrine des soufis, se fit derviche, et se livra au mysticisme. Il fut tué par les Mongols qui avaient envahi son pays.
Attar a écrit plusieurs poèmes moraux et mystiques, dont les plus célèbres sont :
- le Pend-namèh, ou le Livre des conseils,
- le Manṭiq al-ṭayr ou La conférence des oiseaux, poème de philosophie religieuse
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